Analyse d’un processus créatif par le peintre lui-même

Eric Besson peintre autodidacte au parcours international étonnant vous explique le cheminement de sa pensée lors de la réalisation de ses créations.

L’idée première vient soit d’une discussion soit d’un sujet qui suscite son attrait en rapport avec des personnages mythiques à forte identité emblématique issus de la culture littéraire et populaire ou artistique. L’intérêt historique et le lien avec la réalité ont leur importance pour que l’interaction entre passé et présent soit là créant ainsi une dynamique de l’imaginaire, jouant ainsi avec une réalité des choses et un imaginaire fécond où conscience et inconscient et subconscient vivent une même histoire.

Sur le support utilisé à savoir principalement la toile un travail du fond a d’abord lieu. Et là, soit la couleur donne le ton soit un trait ou une ligne montrent le chemin. S’en suit une mécanique d’organisation du traitement d’un sujet principal ou d’un thème qui transporte l’artiste au gré des combinaisons des lignes et formes. Où des assemblages de couleurs où l’une en appelle une autre dans une rythmique spatiale non codifiée par les usages de la logique des complémentaires en matière de beaux-arts. Une approche personnelle où l’expérience de vingt-sept années parle presque d’elle-même.

L’architecture dite composition est très structurée par un souci d’exigence d’équilibre parfait ceci au millimètre dans le sens où l’œuvre une fois finalisée devra paraître parfaitement stable une fois terminée et positionnée sur un mur.

Le travail de l’équilibre dans le déséquilibre a toute sa place et la finalisation d’une œuvre peut parfois prendre des semaines jusqu’à des années. Car la vraie satisfaction dans la réalisation d’un travail n’est là que lorsque l’œuvre correspond à la véracité de la charge émotionnelle ressentie par l’artiste, le peintre en l’occurrence, réalité d’un acte vraiment sincère et authentique.

La recherche d’une forme d’excellence ne peut donc pas passer par le contentement et l’acceptation du peu. Le plus est limite à ne pas franchir afin de ne pas être dans le trop.

Savant mélange d’audace de liberté d’allant et d’une vision claire de la globalité tel un roman où le fil directeur laisse se concentrer sur lui tant le regard de la lectrice ou le lecteur que son imaginaire jolie correspondance d’un partage de belles énergies.

Eric Besson Art

#Bordeaux

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